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Utilises‑tu les réseaux sociaux ? Fais attention ! De nombreux dangers s’y cachent. Lis ce texte pour en savoir plus, puis fais les exercices.

Quand la Toile tend des pièges
Les réseaux sociaux sont apparus dans les années 90. Et en seulement trente ans, ils ont réussi à changer nos habitudes de manière qu'ils font partie inséparable de notre vie quotidienne. Cependant, c’est le téléphone portable qui les a rendus si populaires. Avec nos smartphones, petits et accessibles à tout moment, on arrive à se connecter avec des milliers de personnes à travers le monde. Et c’est bien ça qui représente un vrai danger pour certains.
DANGER numéro 1 : des personnes suspectes
Actuellement, la tendance est aux messageries instantanées et aux réseaux sociaux. Ils permettent aux jeunes de discuter avec leurs amis. Toutefois, des inconnus mal intentionnés peuvent également prendre part aux discussions… Ils choisissent un pseudo et pour l’ado, impossible de savoir qui se cache derrière ce « profil ». Les ados risquent ainsi de se laisser manipuler par des personnes très dangereuses, ce qui peut avoir des conséquences tragiques sur leur vie. Il existe des groupes ou associations qui recherchent des ados mal dans leur peau, pour les « recruter » dans des réseaux prônant l'anorexie, le suicide ou même le terrorisme. Le film « Le ciel attendra » de Marie‑Castille Mention‑Schaar, basé sur une histoire vraie, en est un exemple parfait. Il raconte l'embrigadement des jeunes filles en France par Daech (le groupe djihadiste sunnite appelé autrement État islamique) via les réseaux sociaux justement. Conclusion, les messageries instantanées sont un outil pratique pourvu que leurs utilisateurs connaissent l’identité de celui avec qui ils discutent, et dans le cas contraire qu’ils soient sensibles aux moindres signes suspects.
Danger numéro 2 : la cybercriminalité
Il faut redoubler de vigilance à tout prix, car les plateformes sociales sont également des lieux parfaits pour les cybercriminels, car elles leur permettent de voler l’identité des utilisateurs et de gagner facilement leur confiance. Parfois, ils passent des semaines à discuter avec eux sur les médias sociaux avant de monter leur arnaquearnaque. Et le nombre de ces escroqueries en ligne n’arrête pas d’augmenter. Les cybercriminels utilisent d’ailleurs des techniques de plus en plus raffinées au fur et à mesureau fur et à mesure que le numérique se développe. Il importe donc de connaître les signes de ces escroqueries en ligne, comme celles utilisant les réseaux sociaux, pour éviter de se faire voler son identité ou son argent.
L’hameçonnage (ou phishing) est l’une des nombreuses méthodes qui peuvent facilement faire de quelqu’un une victime. À titre d’exemple, une attaque de phishing sur un service de partage de photos et de vidéos a été lancée pendant la pandémie de Covid‑19. Les victimes avaient reçu un message de cybercriminels qui se faisaient passer pour un centre d’aide d’un réseau social, dans le but de voler des informations personnelles. Un lien était fourni dans le message, redirigeant ceux qui avaient cliqué dessus vers un formulaire, pour leur permettre d’entrer en contact avec l’équipe de la plateforme en question. À partir de là, les cybercriminels pouvaient facilement récupérer leurs identifiants de connexion et d’autres informations sensibles, ce qui leur a permis de prendre le contrôle des profils des victimes. Comment les cybercriminels peuvent‑ils contrôler votre compte sur les réseaux sociaux ? Ils utilisent généralement l’une des méthodes suivantes : d’une part, ils peuvent choisir de ne pas changer votre mot de passe ni de voler votre compte. Ils suivent seulement vos activités quotidiennes, sans être détecté. Ils vont ensuite se faire passer pour vous et demander à vos contacts des informations personnelles. D’autant plus qu’il existe des techniques qui leur permettent de ne pas se faire remarquer. Par exemple, un service populaire de partage de photos est doté d’une fonction qui permet de « désenvoyerdésenvoyer des messages » ou de « supprimer des conversations ». L’autre méthode des cybercriminels consiste à prendre totalement le contrôle de votre compte. Ils peuvent modifier vos informations ou les supprimer pour rendre plus difficile leur récupération.
Danger numéro 3 : la dégradation de la santé
On dit que les jeunes d’aujourd’hui qui abusentabusent des réseaux sociaux, appartiennent à la génération girafe, car cet animal dort le moins au monde. Tout comme eux. Cela mène à des déficits sérieux de sommeil, un énorme danger pour toute personne, et en particulier pour les jeunes qui sont en pleine croissance.
D’ailleurs, sans faire de nuits blanches on peut très vite ressentir les conséquences d’une utilisation excessive des réseaux sociaux.
Celle‑ci entraîne la dépression, un sentiment de solitude, l’anxiété, sans compter un affaiblissement des résultats scolaires, surtout si elle expose à la violence ou au cyberharcèlement. Les conséquences sur le comportement sont visibles partout et à chaque instant. C’est comme si la personne en face de nous n'existait plus. Au cinéma par exemple, au lieu de parler à son voisin en attendant le début du film, on regarde les réseaux sociaux, en commentant les statuts des autres ou bien en y ajoutant une autre photo retouchée de nous‑mêmes. En effet, sur les réseaux sociaux, l’accent est souvent mis sur la beauté et l’embellissement des images, pour présenter la meilleure version possible de soi et de sa vie. Les selfies enjolivésenjolivés semblent avoir un effet particulièrement néfaste sur l’image de soi des utilisateurs qui les consultent.
De multiples études indépendantes, comme celle réalisée par la Royal Society for Public Health, avaient déjà souligné l’effet négatif que peuvent produire les réseaux sociaux sur l’estime de soi des adolescents, tout particulièrement le fait qu’ils soient constamment confrontés à des images de corps et de vies idéalisés.
D’ailleurs, des études internes des médias sociaux montrent à quel point eux‑mêmes peuvent avoir des conséquences néfastes sur l’image et la santé mentale de ses utilisateurs les plus jeunes, a révélé le Wall Street Journal, qui a eu accès à plusieurs présentations internes diffusées aux employés du réseau social.
« Un adolescent sur cinq dit que les réseaux sociaux nuisent à son estime de soi », détaille ainsi une page d’une présentation diffusée au sein de l’entreprise. Les adolescentes britanniques sondées sont les plus critiques : si 30 % d’entre elles disent se sentir « mieux » ou « beaucoup mieux » lorsqu’elles utilisent l’application, 23 % affirment que l’application les fait se sentir « un peu plus mal », et 2 % « vraiment plus mal ». Et ce n’est pas tout. Les adolescents passant de plus en plus de temps sur les réseaux sociaux, ils sont plus susceptibles d'être déprimés. À moins qu’un petit souci se présente, il déclenchera une crise de nerfs. Ce danger se reflète cependant par le fait que cette plateforme est aussi extrêmement addictiveaddictive. Comment y remédier ? Tout passe par l'éducation. Aussi bien à la maison qu’à l’école. Pourvu que l’on fixe des limites, l'utilisation des réseaux sociaux sera contrôlée et les conséquences sur la santé diminuées. En supposant qu’une campagne d’information soit mise en place, leurs parents seront avertis de ce problème grandissant et deviendront plus vigilants.
D’autres solutions ? On en cherche toujours. Dans certains pays pourtant, en veillant à la sécurité des citoyens, on a choisi de s’adapter. Les autorités municipales y ont installé des bandes de lumièresbandes de lumières au niveau des passages piétons, pour les gens qui ont les yeux rivés sur leur téléphone. Finiront‑ils par les lever un jour ? Pourvu que la réponse soit positive.
Źródło: Agnieszka Chądzyńska, [na podstawie:] www.mcetv.ouest-france.fr [dostęp 24.01.2023], www.lefigaro.fr [dostęp 24.01.2023], www.lemonde.fr [dostęp 24.01.2023], www.magicmaman.com [dostęp 24.01.2023], licencja: CC BY-SA 3.0.
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souffrir: d’insomnie; de troubles du comportement alimentaire (TCA); de dépression; de troubles de sommeil.
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Rappel grammatical
Plansza zatytułowana: Formation du subjonctif présent
Base de la 3Indeks górny èmeème personne du pluriel au présent + terminaisons
1Indeks górny erer et 3Indeks górny èmeème groupe : + e, es, e, ions, iez, ent, par exemple : que je parle, que je prenne
2Indeks górny èmeème groupe : + isse, par exemple : que je finisse
Quelques verbes irréguliers:
faire : que je fasse
être : que je sois
avoir : que j'aie
pouvoir : que je puisse
vouloir : que je veuille
savoir : que je sache
Le subjonctif s'utilise après certaines structures, entre autres celles exprimant
l'opinion, par exemple: Je trouve scandaleux que tu te fasses arnaquer sur les réseaux sociaux.
la condition, par exemple: Tu peux te connecter sur les réseaux sociaux à moins que / à condition que tu fasses attention
les sentiments, par exemple : Les psychologues ont peur que la situation devienne pire.

Mets les verbes entre parenthèses au subjonctif.
